Le journal du Vendredi

Des news chaque vendredi

Recontruire un pays en guerre

Ce sera notre souhait et notre objectif que les processus de paix, quand ils sont commencé, doit être absolument ouvert et qu’ils doivent impliquer et permettre désormais pas de compréhension secrète d’aucune sorte. Le jour de la conquête et de l’agrandissement est passé; Il en va de même pour les alliances secrètes contractées dans l’intérêt des partici- gouvernements et probablement à un moment inattendu pour bouleverser la paix de le monde. C’est ce fait heureux, maintenant évident pour tout homme public dont pensées ne s’attardent pas encore dans une époque morte et révolue, ce qui la rend possible accessible à toute nation dont les objectifs sont compatibles avec la justice et la paix du monde. le monde à avouer maintenant ou à tout autre moment les objets qu’il a en vue. Nous sommes entrés dans cette guerre parce qu’il y avait eu des violations du droit qui nous ont touchés au vif et a rendu impossible la vie de notre peuple à moins qu’il ne soit et le monde s’est assuré une fois pour toutes contre leur récurrence. Ce que nous demandons dans cette guerre n’est donc rien de particulier à nous-mêmes. C’est ça que le monde soit en état de vivre et qu’il soit sécuritaire de vivre; et en particulier qu’il soit sécurisé pour chaque nation éprise de paix qui, comme la nôtre, souhaite vivre sa propre vie, détermine ses propres institutions, d’être assurées de la justice et de la loyauté de ses actes par les autres peuples du monde. le monde, par opposition à la force et à l’agression égoïste. Tous les peuples du monde sont en effet des partenaires de cet intérêt et pour notre propre Nous voyons très clairement que si l’on ne rend pas justice aux autres, il ne sera pas fait pour nous. Le programme de la paix dans le monde est donc notre programme; et ce programme, le seul programme possible, à notre avis, est le suivant: 1. Des alliances ouvertes de paix, conclues ouvertement, après lesquelles il n’y aura pas de pri- des accords internationaux de quelque nature que ce soit, mais la diplomatie doit toujours procéder franchement et à la vue du public. 2. Liberté absolue de navigation sur les mers, en dehors des eaux territoriales en paix et en guerre, sauf que les mers peuvent être fermées en tout ou en partie par des action internationale pour l’application des pactes internationaux. 3. La suppression, autant que possible, de tous les obstacles économiques et de la l’instauration d’une égalité de conditions commerciales entre toutes les nations consentantes à la la paix et s’associent pour son maintien. 4. Garanties adéquates données et prises que les armements nationaux seront réduits aux points les plus bas compatibles avec la sécurité domestique. 5. Un ajustement libre, ouvert d’esprit et absolument impartial de tous les peuples coloniaux. réclamations fondées sur le strict respect du principe selon lequel, dans la détermination de tous questions de souveraineté, les intérêts de la population concernée doivent être pris en compte poids avec les prétentions en equity du gouvernement dont le titre doit être déterminé. 6. L’évacuation de tout le territoire russe et le règlement de toutes les questions affectant la Russie comme garantira la coopération la meilleure et la plus libre des autres nations du monde à obtenir pour elle une opportunité sans gêne et sans embarras pour la détermination indépendante de son propre développement politique et national politique et l’assurer d’un accueil sincère dans la société des nations libres sous institutions de son choix; et, plus qu’un accueil, une aide également de tous les types dont elle peut avoir besoin et qu’elle peut désirer Le traitement accordé à Rus- ses frères dans les mois à venir sera l’épreuve décisive de leur succès. volonté, de leur compréhension de ses besoins, distingués de leurs propres intérêts et de leur sympathie intelligente et désintéressée. 7. La Belgique, conviendra le monde entier, doit être évacuée et restaurée, sans toute tentative de limiter la souveraineté dont elle jouit en commun avec tous les autres libres nations. Aucun autre acte ne servira car cela permettra de rétablir la confiance parmi les nations dans les lois qu’ils se sont fixés et déterminés pour le gouvernement de leurs relations les uns avec les autres. Sans cet acte de guérison, le Toute la structure et la validité du droit international sont compromises à jamais.

Les commentaires sont fermés.