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L’intellectualisation des appréciations de Marcus Aurelius

Marcus était un empereur romain philosophiquement probable, cependant, pas un philosophe-souverain dans le sentiment de Platon. Entre autres choses, il n’a pas pris en charge le programme exigeant de recherches essentielles à Platon, ni d’ailleurs la philosophie que Marcus épouse, bien que platonicienne par endroits, est évidemment généralement stoïcienne par nature. Néanmoins, il pourrait même être une erreur de négliger Marcus, de le considérer comme un penseur de second niveau qui se trouverait à obtenir un empereur. Nous avons maintenant, dans les articles, rien de moins qu’une sorte de distillation de la philosophie stoïcienne qui est filtrée avec les exigences pratiques d’un individu en possession d’une force politique monumentale. Son chemin vers la force était étrange. Marcus a été utilisé et livré gentiment par son grand-père, l’empereur Antonius Pius (lui-même adopté par l’empereur Hadrien). Par tous les équilibres survivants, Marcus était un excellent étudiant de la rhétorique, de la poésie et du droit, mais il semble avoir utilisé une fascination jeune et très vive pour le point de vue, en particulier les articles de l’Épictète stoïcien. À un groupe d’âge précoce, peut-être aussi jeune que 11 ans, il a commencé à s’habiller clairement et à suivre ce qu’il considérait comme un programme sévère de révision, de frugalité et d’abnégation de soi d’un stoïcien. Peut-être est-il allé trop loin, car il y a des rapports selon lesquels sa santé a persisté. À la mort d’Antonius, Marcus et son copain inutile Lucius, également mis en œuvre par Antonius, montèrent sur le trône. Il est vraiment clair que Marcus aurait pu déterminer seul, mais il a remarquablement choisi d’offrir la règle commune à Lucius. Ils ont discuté de la force jusqu’à la perte de vie de Lucius en 169 après JC. Marcus a alors déterminé seul, et aussi de manière générale bien, jusqu’à sa mort, probablement de peste, tout en effectuant une campagne de marketing à proximité du haut Danube. Si sa mort semble angoissante, ce n’est rien comparé aux difficultés de Rome pendant son règne. Il était pratiquement constamment en guerre avec les Parthes; les barbares menacés dans les limites septentrionales de la France; il a mis des années à combattre des tribus allemandes le long du Danube; il réprima deux révoltes de lieutenants récalcitrants; sa femme peut-être moins croyante, Faustine, est décédée subitement; Rome a enduré un ou plusieurs fléaux importants tout au long de son règne, ainsi que la famine, les inondations, les incendies et les tremblements de terre; et un seul de ses enfants est décédé plus jeune. Son jeune survivant, Commodus, était vil et n’aura pas été très pratique. Les stoïciens considèrent la nature comme étant en elle-même divine et cyclique – la pensée est clairement panthéiste – consistant en des cycles d’existence et de conflagration cataclysmique, éternellement répétés. Les stoïciens ultérieurs se préoccupaient plus d’intégrité que de métaphysique, et certainement les pensées romaines pratiques de Marcus sont presque entièrement occupées à la façon dont un célibataire doit vivre. Même ainsi, l’opinion selon laquelle Mère nature est, pour une raison quelconque, à la fois divin et se déplaçant dans un chemin particulier, malgré nos alternatives, explique en partie la vision stoïcienne selon laquelle le style de vie dirigé en harmonie avec la nature est la meilleure existence, le style de vie vertueux. De plus, cela explique également l’indifférence indéfectible des stoïciens à l’égard de la fortune et du malheur. Tout ce qui nous arrive est un élément du déploiement d’une stratégie divine qui est à la fois au-delà de notre capacité d’influence et, en fin de compte, bonne. Une apparence stoïque qui fait le point est celle du chien attaché à l’arrière d’un wagon. Une fois que le chariot se déplace, votre chien peut soit être traîné en jappant et woofing et s’étrangler en tirant dans la direction opposée, soit il pourrait calmement l’accompagner. Votre chien part dans le même chemin quoi qu’il décide d’exécuter; sa seule véritable option est la façon dont il fait face en utilisant son destin bien établi. Comme Marcus se dit constamment, un stoïcien doit faire une variation entre ce qui dépend de nous et précisément ce qui ne dépend pas de nous. En cela, il fait écho à Epictète: «Nous sommes le point de vue, l’impulsion, le désir, l’aversion. … Ce n’est pas à nous que revient le physique, la propriété, le statut, le bureau d’affaires. »Si l’on fait la grosse erreur de supposer, par exemple, que votre position sociale dépend de vous, dans votre sphère de gestion, vous risquez d’être insatisfait ; vous risquez d’être blessé par des personnes qui vous négligent pour votre promotion et déplorent vos échecs. Les problèmes, cependant, ne sont certainement pas les vôtres. Vous avez juste le pouvoir sur vos opinions et vos attitudes, et dans cet article, la vertu est facile pour le stoïcien.

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