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L’absence de concession sur la Syrie

Bien avant qu’il y ait clairement bataille en Syrie, il semblait y avoir une tendance. Au début de 2011, les manifestations du printemps arabe ont balayé le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Le président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali et le Egyptien Hosni Moubarak ont ​​démissionné. Des soulèvements anti-autoritaires ont éclaté en Libye, au Yémen et à Bahreïn. Mais les Syriens ont été hésitants. Chacun se souvenait de ce qui s’était passé en 1982, lorsque le gouvernement de Hafez al-Assad avait massacré des milliers de personnes en réponse à un soulèvement à Hama. Il y a des situations séparées: un gars s’est allumé sur le feu à Hasaka. Les manifestants exposés à Damas à la suite de l’application de la loi ont vaincu un commerçant. Il y a eu des appels de téléphone portable sur Facebook et Twitter pour une «journée de colère». Mais rien n’a été fait. Au début du mois de mars, au cours de cette période de 12 mois, la police à l’intérieur du sud de la ville de Daraa vous a ciselé les ongles de jeunes arrêtés pour avoir utilisé des slogans anti-programmes. Lorsque les adolescents se sont rassemblés pour réclamer leur départ, la stabilité a provoqué des tirs autour de la masse, éliminant ainsi 6. Les manifestants ont élargi leurs revendications auprès du gouvernement fédéral: soulager les prisonniers politiques, mettre fin à la corruption et révoquer pratiquement le pays Régulation urgente des 50 dernières années. Des émeutiers incendient le quartier général baath contre le siège voisin et Syriatel, une entreprise appartenant à un membre de la famille du président, considérée comme la personne la plus riche de Syrie. Bashar al-Assad a tenté de mettre fin au chaos en achetant que les adolescents soient présentés, mais il était trop tard. À la fin du mois civil, les manifestants de Daraa ont vu déchiqueter une sculpture de Hafez al-Assad, et la sécurité leur a permis d’infecter une mosquée où des manifestants ont trouvé refuge. Des gens de tout le pays téléphonaient maintenant au président pour qu’il démissionne. Au cours des deux premières semaines du soulèvement, Assad ne s’est pas produit en communauté. Puis, fin mars, son vice-président a mentionné qu’Assad annoncerait des jugements qui «plairont à la population». Une fois le leader élu au Parlement, le 30 mars, les membres se sont levés et ont scandé: «Notre esprit, notre sang, nous nous sacrifions à votre convenance. Bashar! Il se tenait devant eux avec timidité, l’image du dirigeant bien intentionné que de nombreux Syriens pensaient néanmoins qu’il obtiendrait.

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