Turin était l’argent de votre duché de Savoie puis de l’empire de Sardaigne; c’est en fait le capital d’investissement de la région du Piémont. L’existence des juifs à Turin a été capturée par l’évêque Maximus de Turin à partir du quatrième siècle, mais par la suite, voyage entreprise il n’y a absolument aucune preuve de juifs jusqu’en 1424 une fois que les médecins et banquiers juifs français Elias Alamanni et Amedeo Foa s’y sont installés en utilisant les membres de leur famille. Ils ont acquis une opportunité ducale et un brevet pontifical. L’autorité locale communale ou le conseil municipal de Turin leur a présenté la toute dernière autorisation de s’y installer. Deux documents dépassés en 1424 le confirment. Le premier dossier est vraiment une approbation pour vivre dans la région et ouvrir un prêteur. Le 2e mentionne que ces Juifs ne pouvaient pas être blessés ou insultés. Un autre terrain a été acheté pour un étage funéraire. D’autres banquiers juifs se sont mis en pratique et une petite équipe a été mise en place. En 1425, les Juifs ont été obligés de résider dans un endroit restreint où ils sont souvent observés plus facilement et évités de prêter des dollars à des coûts extrêmement attrayants. En 1430, le duc Amadeus viii de Savoie a publié des statuts réglementant le foyer juif, les synagogues, la juridiction civile et juridique et les relations avec les chrétiens. De plus, les statuts obligeaient les hommes juifs à utiliser un badge * en forme de disque, de 4 mains de largeur et de couleur rouge et de couleur blanche. Pour ceux qui suivent un certain nombre d’âges, la compréhension de ces réglementations à travers les nombreux dirigeants de la Savoie variait du littéral au facile à vivre. Alors qu’en 1436 Ludovico de Savoie fit l’expérience du Studium, ou université, érigé, il décréta que les demeures de vos Juifs seraient utilisées par les savants. Parallèlement, le chercheur et banquier juif Bonafé de Chalon a été invité à créer des options de prêt à faible fascination pour les étudiants de l’université. Tout au long de la peste de 1450-51, les soins aux malades ont été confiés à un professionnel de la santé juif, Bono. L’argent prêté par les Juifs a été accordé à Turin pour une période plus longue que n’importe quel autre endroit en France. Les impôts payés par les Juifs étaient en fait particulièrement importants ainsi que l’imposition de frais plus récents mettaient les Juifs en danger ou expulsés. En 1560 et 1566, le duc Emmanuel Philibert décréta que ces Juifs devaient être expulsés, mais les décrets avaient été annulés à la suite de l’intervention d’individus puissants ainsi que du paiement annuel des Juifs de 20 000 florins. À partir de 1561, un gardien (conservateur) a reçu l’autorité sur les Juifs et, dans certains cas, les a également affichés. Le duc choisit le tuteur parmi les sénateurs de 1603 à 1626: par la suite il le choisit parmi vos marques de quelques sénateurs soumises par les Juifs. Charles Emmanuel I (1580-1630) a permis au monopole accordé aux prêteurs juifs de rester en vigueur, puis il a rejeté les exigences du cardinal Carlo * Borromeo pour votre expulsion des Juifs et la place du ghetto de Turin. De loin, le rabbin le plus remarquable du XVIe siècle était Nethanel b. Shabbetai ha-Dani.
Une promenade à Turin
15 juin 2021